Rival Knights : c’est l’heure de jouer au gros bourrin !

Des joutes médiévales sur fond de trompettes héroïques, c’est ce que propose  le dernier jeu Gameloft.

rival_knights
Vous en connaissez beaucoup, vous, des jeux de chevaux où on peut transpercer son adversaire ? Développé par le studio Gameloft de Montréal, ce simulateur vous met dans la peau d’un cavalier belliqueux au temps des châteaux forts. Après cinq heures de test, Le Kulturiö est plutôt séduit.
Première constatation : Rival Knights est un jeu free-to-play où le pay-to-win n’est pas nécessaire. Les affrontements dynamiques constituent le gros du jeu.
Quelques tapotements suffisent à contrôler la vitesse du chevalier et viser avec sa lance. Un système très intuitif qui rappellera aux plus anciens les épreuves de précisions à Track and Field.

Niveau visuel ? Un moteur 3D à la fluidité remarquable et aux décors minutieux met en scène vos
combats. La caméra placée derrière votre cheval quand vous chargez assure
une belle impression de vitesse. Petit plus sympathique : on peut faire voler son adversaire façon Matrix en réussissant un beau coup.
Musique galvanisante, hennissements et lances brisées se chargent du reste,
on s’y croit vraiment. Il y a même des oiseaux qui croassent dans le ciel. Il s’en faut de peu pour qu’on crie « yihaaa » pour encourager son canasson.

Vitesse, force, défense, poids de l'équipement, blason... autant d'éléments que vous pourrez customiser au prix de plusieurs heures de jeu, ou quelques euros.
Vitesse, force, défense, poids de l’équipement, blason… autant d’éléments que vous pourrez customiser au prix de plusieurs heures de jeu, ou quelques euros.

Vous allez me dire, embrocher des nobles, c’est cool, mais c’est un peu lassant. Et bien non, et c’est là toute la qualité de ce jeu qui propose un nombre de challenges conséquents – y compris un faux mode multijoueur où on peut se mesurer à ses amis.

À en faire palir Omar Sharif
Le mode histoire, qui sert de fil rouge au jeu, nous fait évoluer dans 5 ligues. Des joutes par centaines, entrecoupées de petits passages dialogués et de missions spéciales.
Les adversaires sont de plus en plus coriaces…
Rival Knights a un petit côté jeu de rôle non négligeable. Système de quêtes en temps réel comme dans les MMORPG, customisation de votre personnage, et plus de 120 items à débloquer : montures à en faire pâlir Omar Sharif, lances, armures, heaumes…

La gestion de l’équipement et des récompenses est primordiale pour avancer dans le jeu. Les paresseux peuvent toujours débourser de l’argent pour augmenter plus vite leurs capacités ou se gaver de bonus avant les combats. Mélangeant avec malice jeu de combat, de rôle et d’adresse, Rival Knights est particulièrement addictif malgré un concept simple.

Pourquoi vous n’y jouerez (peut-être) pas

La sensation de vitesse est bien présente... Fouette, cocher !
La sensation de vitesse est bien présente… Fouette, cocher !
  • Les temps de chargement sont agaçants, surtout pour le mode multijoueur. Privilégier une connexion 4G ou Wifi.
  • Rendre votre personnage de plus en plus puissant pour mettre de plus en plus grosses raclées… on aime ou pas.
  • La simplicité du gameplay a les qualités de ses défauts. Les missions, assez variées, n’arrivent plus totalement à nous surprendre après un certain temps.

Disponible sur smartphone (iOS et Android). Gratuit.
Pour suivre l’actualité de ce blog sur Facebook, c’est par ici.

Une réflexion sur “Rival Knights : c’est l’heure de jouer au gros bourrin !

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s