Film | Calvaire, autel du désespoir

Perdu dans les algorithmes des services de streaming ? Jetez un œil à « Calvaire », curiosité horrifique sortie en 2004. Film franco-belgo-luxembourgeois, il est signé du réalisateur belge Fabrice Du Welz, aperçu en salles en début d’année avec le non moins étrange « Adoration ».

L’ histoire ? Marc Stevens (Laurent Lucas) est un chanteur itinérant. À l’hospice, le concert est terminé. Celui-ci reprend la route, mais il tombe en panne au milieu de nulle part. Il trouve refuge chez M. Bartel (Jackie Berroyer), un aubergiste moins serviable qu’il en a l’air.


Œuvre de genre par essence, citant « Massacre à la tronçonneuse », « La Colline a des yeux » ou « Psychose », « Calvaire » n’en parvient pas moins à s’écarter des canons et à distiller une ambiance qui lui est propre. Un long-métrage poisseux et malsain, servi par une photographie très réussie et les épatants Jackie Berroyer et feu Philippe Nahon.

Des maladresses, des ratages, il y en a bien sûr, à commencer par l’acteur principal, qui s’avère un vrai mauvais choix de casting. Mais comment ne pas apprécier cette chute inexorable et ricanante sans autre raison que le hasard ?!

🔎 Disponible sur Netflix et MyCanal. Durée du film : 1 h 30.

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